La chambre des référés au tribunal de première instance a rejeté l’appel interjeté par la ligue de protection de la révolution contre la décision du secrétaire général du gouvernement de geler les activités de la LPR pendant un mois.
Cette décision a été prise suite à la multiplication des plaintes accusant les LPR de violence. Pour rappel, le secrétaire général du gouvernement a ordonné au chargé du contentieux de l’Etat de geler les activités des LPR. En vertu de cette procédure, les LPR disposent d’un délai d’un mois pour prouver que leurs activités s’inscrivent dans l’action civile pacifique. A défaut, elles seront carrément dissoutes.
Un bon nombre d’avocats ont réuni, depuis quelques mois, des preuves sur l’implication des LPR dans des actes de violence.