Selon des sources informées citées par l’hebdomadaire Al Mousawar, la justice française a décidé de ne pas extrader Saida Agrebi vers la Tunisie et a signifié sa décision aux autorités judicaires tunisiennes.
Le tribunal français statuant sur l’affaire a expliqué sa décision par la conviction de la partie française qu’il n’existe pas d’éléments probants pouvant inculper Saida Agrebi dans l’affaire instruite contre elle par un juge d’instruction au tribunal de première instance de Tunis, concernant sa gestion de l’association tunisienne des mères dont elle était présidente.