Les Tunisiens divorcent de moins en moins, selon des sources informées citées par Attounssia. Qu’il s’agisse de divorce par consentement ou pour préjudice, la courbe est en nette baisse, même si on ne dispose pas de chiffres précis pour l’instant.
Les mêmes sources expliquent ce recul par la situation économique consécutive à la Révolution. D’autant que, avant les 14 janvier 2011, les tribunaux ne désemplissaient pas, tant étaient nombreuses les affaires de divorce.
- Publicité-