Les discussions de l’allocution de Youssef Chahed devant l’ARP, devant seulement 105 députés sur un ensemble de 2017 et dont certains ont quitté la salle dès la fin de l’allocution, ont député avec l’annonce d’un décès et d’une maladie. Mauvaise augure ?
Le premier à intervenir, fut le Nahdhaoui Imed Khmiri pour renouveler l’appui de son parti au nouveau gouvernement en lui rappelant la nécessité de ne pas toucher aux acquis, notamment en matière de droits de l’homme, dans son programme gouvernemental. Suivez son regard !
Le député Mohamed Rachdi de Nida Tounes a, pour sa part surtout rappelé à Youssef Chahed que le gouvernement de «guerre » promis, doit mener cette guerre, contre tout le monde, les anciens responsables et les syndicalistes, en respectant les mouvements sociaux légaux et s’opposer aux blocage du travail, notamment dans les champs pétroliers. Abderraouf El May Réserve contre la mise sous tutelle du des affaires sociales du Secrétariat d’Etat des Tunisiens Résidants à l’étranger, lien avec le qu’il considère comme une erreur
Ahmed Seddik du Front Populaire, a été le premier à tirer à boulet rouges sur le chef du gouvernement Youssef Chahed. «Je voudrais d’abord vous dire que, contrairement à ce qui se dit, les médisances contre certains ministres vient du parti au pouvoir ». Et Seddik de se demander ensuite, «pourquoi changer le gouvernement ? On ne voit pas le lien avec le nouveau programme qui n’est qu’une redite de l’ancien » et de s’interroger pourquoi «garder certains ministre qui n’ont pas donné de bons résultats ». Suivra Nomane El Euch qui «remerciera » Chahed pour les mauvais résultats de son mandat, dit-il en citant la hausse du chômage, celui de la dette et autres indicateurs demeurés négatif au bout d’un an à La Kasbah
