Le porte-parole du tribunal de première instance de Tunis, Kamel Barbouch a expliqué dans une déclaration à la TAP le 18 février 2016, que l’homme d’affaires belge et ses associés (un français et une tunisienne), impliqués dans une affaire d’importation d’armes ont été libérés car le pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a nié le caractère terroriste de l’affaire. Par conséquent, l’affaire a été renvoyée à la juridiction de Nabeul.
« Cette décision a été prise suite à l’enquête menée par la brigade antiterroriste de l’Aouina », a indique Kamel Barbouch.
Cette enquête a permis de qualifier certains actes comme des crimes de droit commun douaniers et autres. L’enquête a également prouvé qu’il n’y avait qu’un pistolet qui peut être qualifié d’arme à feu.