Bouaké, l’ancienne capitale des rebelles en Côte d’Ivoire, connaît une poussée de fièvre ce vendredi, rapporte Jeune Afrique.
Des tirs à l’arme automatique ont été entendus, aujourd’hui, à proximité du plus grand camp militaire de la deuxième ville du pays.
Les militaires ont attaqué au moins deux commissariats et dressé des barricades au centre-ville, coupant toute circulation, faisant état de tirs d’armes automatiques sporadiques.
Ils ont pris position à divers carrefours stratégiques de la ville et circulaient dans des véhicules de la police, a ajouté la même source.