« Selon des sources très fiables, des recherches approfondies sont en cours dans des établissements publics et dans des cliniques privées concernant l’utilisation d’anesthésiants avariés. Des professionnels du secteur de la santé impliqués dans cette affaire ont été convoqués par les autorités judiciaires et des quantités d’anesthésiants ont été saisies. De même, des cas de décès ont été enregistrés », a écrit ce lundi 8 août 2016 sur sa page officielle Facebook le juge Ahmed Rahmouni, président de l’Observatoire de l’indépendance de la justice (OTJ). Il a précisé que ces produits ont été achetés à la pharmacie centrale.
On rappelle que l’Union Populaire Républicaine (UPR) avait récemment déposé une plainte à l’Instance nationale de lutte contre la corruption faisant état d’un cas de corruption qui met en danger la santé des patients. Ce qui avait déclenché l’affaire des stents périmés implantés à des patients dans des cliniques à Tunis.