Le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a souligné, à son départ du Caire pour Israël, que le plan proposé par le président américain Joe Biden, qui reprend la proposition israélienne, était très proche des exigences du Hamas et est soutenu par de nombreux pays. « Le seul obstacle, c’est le Hamas », a-t-il affirmé. « C’est pourquoi mon message à tous ceux qui veulent soulager les souffrances des Palestiniens est de faire pression sur le Hamas pour qu’il accepte l’accord ». « Si nous parvenons à un cessez-le-feu, cela ouvrira également la voie à une paix durable à Gaza. Il est essentiel que nous continuions à travailler sur les plans pour l’après-guerre », a-t-il poursuivi.
Le chef de la diplomatie américaine a également insisté sur la nécessité de poursuivre l’acheminement de l’aide humanitaire à Gaza « avec ou sans accord ».
Blinken a par la suite estimé qu’un plan pour l’après-guerre était indispensable si un accord était conclu entre Hamas et Israël. En l’absence de plan, Blinken a énuméré trois possibilités de futur à Gaza : Israël sera contraint de demeurer dans la bande de Gaza, ce que l’État hébreu ne souhaite pas ; le Hamas se maintiendra au pouvoir et rien ne changera ; cela créera un vide qui causera le chaos où d’autres groupes tenteront de prendre le contrôle du territoire.
Quelques soient les accords, le pire serait celui du retour aux frontières exigés par l’ONU.
Un cesser le feu à respecter par les envahisseurs, colons de la Palestine, est indispensable pour arrêter les massacres contre les civils et surtout les enfants.
Des sueurs de hontes sont à laver par des décisions d’honnêtes humains qui ne veulent pas que leurs noms soient accompagnés par criminels sans scrupules.
Une image d’un grand, intelligent et puissant pays au sommet de la pyramide est à sauver pour ne pas tout et partout perdre du terrain et de l’influence.