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Déblocage d’un don de 162 millions d’euros au titre d’un programme d’appui aux réformes engagées par le gouvernement

L’Union Européenne (UE) vient de débloquer un don de 162 millions d’euros à la Tunisie, dans le cadre d’un programme d’appui aux réformes engagées par le gouvernement dans plusieurs domaines dont la gouvernance économique, la libéralisation de l’investissement, le renforcement de la compétitivité de l’économie et de l’export, la transition énergétique et la justice.

Ce don s’ajoute à un autre don de 51 millions d’euros débloqué en avril 2022, pour soutenir les secteurs de l’éducation, de l’inclusion sociale et du développement rural.
Le nouveau don a été au cœur d’une rencontre, mercredi soir, entre le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Saied et l’ambassadeur de l’UE en Tunisie, Marcus Cornaro.
A cette occasion, les deux responsables ont réitéré leur engagement mutuel à renforcer les partenariats existants entre la Tunisie et l’UE et les diversifier davantage dans la période à venir.

Pour rappel, l’UE, a versé, le 25 mai 2022, un montant de 300 millions d’assistance macrofinancière (AMF) à la Tunisie. Il s’agit du deuxième et dernier versement au titre du programme d’AMF approuvé en faveur de la Tunisie dans le contexte de la COVID-19.
Le montant global des financements accordés par l’union européenne à la Tunisie au titre d’appui au budget de 2022, s’élève ainsi à 513 millions d’euros entre dons (213 millions d’euros) et prêts (300 millions d’euros). Ces financements ont été annoncés lors de la visite effectuée par le Commissaire Olivér Várhelyi en Tunisie en mars 2022.

Un don de 20 millions d’euros a également été accordé par l’UE à la Tunisie dans le cadre de l’initiative européenne « Food and Resilience Facility » visant à aider les pays partenaires à faire face à l’impact de la guerre en Ukraine.

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1 COMMENTAIRE

  1. Un Proverbe Tunisien dit :
    وين فلوسك يا حمار – في الصفيحة والمسمار
    Des dettes et des dons pour des gens qui ne reconnaissent par les valeurs de la dignité à mériter par le travail sérieux et productif.
    C’est humiliant pour les Tunisiens qui veulent assurer leur dignité par la sueur de leur travail. Malheureusement, ces personnes se trouvent dans une société, dont un nombre important accepte des salaires et des avantages sans donner l’équivalent en travail (une des couleurs d’opportunisme ou de corruption dissimulée)
    De plus, les plus paresseux sont semble-il, ceux qui revendiquent le plus des droits en oubliant leurs devoirs.
    Nous vivons un banditisme social peu maitrisé où chaque groupe veut imposer sa loi sur le reste des Tunisiens.
    Dans notre pauvre pays, on t’oblige à payer plus de taxes, plus de frais pour les services très mal rendus par l’administration publique et on dilapide gratuitement ton énergie humaine, dont le temps de travail est un élément de l’équation.
    C’est dommage, que dans notre pays, nous assistons à des querelles de prise de pouvoir marquée par des batailles répétitives pour le marquage de l’hégémonie sur l’administration publique.
    Par peur ou par manque de courage, les différents gouvernements et les différents ministres n’arrivent pas à gérer l’administration publique surpeuplée, couteuse et peu productive.
    Depuis 2011, personne ne sait vraiment qui dirige notre pays, ni comment est la trajectoire de développement qu’il est entrain de suivre.
    En tant que simple citoyen Tunisien, travailleur indépendant retraité et avec une maigre retraite, je n’arrive pas à comprendre la joie qu’affichent des personnes qui se vantent d’avoir paralysé et d’avoir participé à la destruction de leur pays.
    Il doit y avoir des lois et des mesures applicables pour juger toute personne ou toute organisation ayant porté atteinte à l’image à la stabilité et à la trésorerie de notre pays.
    Je considère ridicule et inacceptable que l’UGTT puisse paralyser l’administration publique qu’elle a alourdi par des charges financières, rien que pour marquer son hégémonie.
    Nous sommes donc sous une dictature syndicale, car dans le passé, les personnes qui ont voulu travailler ont été tabassées et humiliées par les grévistes.
    L’état est obligé de protéger les plus disposés à travailler, les plus sérieux et les plus conscients des intérêts publics.
    L’état est la seule responsable et est dans la légitimité d’assurer le bon fonctionnement de l’administration publique qui a alourdi les dettes du pays sans donner l’équivalent en qualité de service.
    Le Tunisien est donc victime d’un banditisme multipolaire sans une réelle défense qui lui garantit, la sécurité pour sa survie.
    L’UGTT est en mesure de participer au développement du pays par la diffusion d’un nouveau mental basé sur le travail productif des richesses en biens et services qui favorisent l’équilibre social et son bienêtre.
    L’hégémonie abusive, n’obéissant ni à une stratégie constructive ni à une discipline sociale planifiée ne fait que développer le mental de banditisme. Elle développe la corruption chez tous les individus prédisposés, sans dignité et qui se sentent protégés et non punis.
    Bien qu’une grève signifie un mécontentement, une expression d’un malaise, une revendication d’un droit, elle peut être organisée sans faire perdre à la Tunisie des acquis économiques et sociaux difficiles à avoir dans les conjonctures internationales actuelles.
    L’UGTT, s’est montré capable de paralyser le pays et lui causer des pertes en image et en finance en faisant arrêter le travail pour une journée.
    Je la défie si elle est capable de faire travailler pour une demi-journée les mêmes personnes à qui elle veut assurer des rémunérations sans donner l’équivalent en travail.
    وين فلوسك يا حماز- في الصفيحة والمسمار

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