Le constitutionnaliste et ex président de l’ISIE, Chafik Sarsar, a estimé que la tenue d’élections anticipées pour dénouer la crise politique sera vaine en raison de la paralysie qui frappe les institutions de l’Etat et de l’absence de dialogue entre les trois présidences.
Cité par Mosaïque fm, il a fait observer que « la situation est extrêmement mauvaise sur les différents plans, économique et politique », soulignant que des élections anticipées basées sur la même loi électorale et sous l’effet de la même désaffection politique ne seront d’aucune utilité et ne mèneront pas au changement escompté.