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Deux chercheurs étrangers, prennent le contre-pieds de tous ceux qui veulent fiscaliser le marché parallèle en Tunisie

« Les tentatives concrètes de taxation du secteur informel se traduisent souvent par une augmentation faible voire nulle des recettes, tout en frappant de manière disproportionnée les pans de la société les plus défavorisés et les plus vulnérables sur le plan économique. La Tunisie ferait bien d’éviter de tomber dans ce piège politique ».

C’est ce que soutient  Max Gallien est chercheur à l’Institute of Development Studies et à l’International Centre for Tax and Development, dans un article publié sur « Middle East Eye », en coopération avec  Vanessa van den Boogaard est chercheuse au Centre international pour la fiscalité et le développement (ICTD) et à la Munk School of Global Affairs & Public Policy de l’université de Toronto.

Les deux chercheurs estiment que « taxer l’économie informelle n’est pas aussi lucratif qu’il y paraît. Si le secteur informel est vaste, il englobe une grande diversité d’activités économiques, des contrebandiers aux vendeurs de rue, en passant par des professionnels tels que des avocats et des dentistes, sans oublier les entreprises plus conséquentes qui n’ont pas entièrement déclaré tous leurs revenus ».

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