Il est impossible de mettre en œuvre un accord avec le Fonds monétaire international », a affirmé le président du parti Afek Tounes, Fadhel Abdelkéfi, expliquant que les réformes indispensables ne peuvent être menées de la manière actuellement en vigueur.
S’exprimant, mercredi sur Shems fm, il a ajouté que les réformes devaient être introduites progressivement, soulignant que le gel des salaires et des recrutements, la cession des entreprises publiques et la révision système de compensation sont des conditions incohérentes.
Abdelkéfi a toutefois estimé possible de changer le climat général dans le pays en l’espace de six mois d’un trait de plume en modifiant des lois obsolètes et grâce à la mise en place d’un dialogue constructif, comme il sera tout aussi possible de changer la Tunisie pour le mieux entre deux et quatre ans.