On connaissait l’ATTT (agence du transport terrestre), on connait mois l’ATT, ou agence technique des télécommunications. Une sorte de police de l’Internet en Tunisie, ou plus officiellement l’agence en charge de l’application de la stratégie de lutte contre la cybercriminalité. Elle « assure l’appui technique aux investigations judiciaires dans les crimes des systèmes d’information et de la communication », assure « la réception et le traitement des ordres d’investigation et de constatation des crimes des systèmes d’information et de la communication issus du pouvoir judiciaire conformément à la législation en vigueur. Elle assure aussi la réception et le traitement des ordres d’investigation et de constatation des crimes des systèmes d’information et de la communication issus du pouvoir judiciaire conformément à la législation en vigueur, l’exploitation des systèmes nationaux de contrôle du trafic des télécommunications dans le cadre du respect des traités internationales relatifs aux droits de l’Homme et des cadres législatifs relatifs à la protection des données personnelle.
Selon les chiffres qu’on découvre sur son site, l’A2T a reçu et exécuté 5764 ordres d’investigation judiciaires d’investigation numérique sur les réseaux sociaux, presque 47 mille ordres d’investigation sur des terminaux mobiles ou téléphones mobiles, et 362 ordre d’investigation sur des terminaux, ou PC