On apprend, dans un communiqué signé par le SG de l’UR de Tunis, que le ministre des TIC, Anouar Maarouf, disposerait de pas moins de 20 conseillers dans son cabinet.
Des nominations «anarchiques» affirme le communiqué de l’UGTT, qui ne demande pourtant pas son départ et faites «sur la base de l’allégeance». Selon la même source, le ministre aurait l’intention de créer une institution, doublon du CNI, nommée «la Tunisienne du développement numérique» et que l’UGTT qualifie de «danger pour la pérennité du ministère» et une «menace pour la sécurité informatique du pays, ainsi que les données personnelles du citoyen tunisien».
Notons que le communiqué est issu d’une structure syndicale de l’UGTT. Cette dernière ne semble pourtant pas du même avis que ses cadres et ne bouge pas le petit doigt contre le ministre d’Ennahdha. Bizarre !