« Plusieurs mois après la fermeture du principal poste frontière entre la Tunisie et la Libye, refuge des passeurs, les magasins sont fermés et le chômage a grimpé en flèche dans cette région désertique déjà marginalisée, selon les commerçants », affirme l’agence de presse française, rapportée par le site « Barrons ».
L’agence ajoute, citant Mounir Gzam, président d’une association d’affaires tuniso-libyenne dans le gouvernorat de Médenine, que « depuis la fermeture de Ras Jedir, la région connaît une stagnation commerciale affectant environ 50.000 commerçants et leurs familles exerçant des activités liées au poste frontière ».
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