La Fédération Tunisienne des Directeurs de Journaux (FTDJ) s’est dite étonnée des pratiques des services en charge des médias et de la communication relevant de la présidence de la République, qui auraient exclu plusieurs journaux et sites électroniques de la conférence de presse tenue ce jeudi 8 novembre 2018 par le chef de l’Etat, Béji Caied Essebsi (BCE), au Palais de Carthage.
Dans un communiqué, la fédération estime que c’est une attitude inacceptable, basée sur le principe de l’appartenance partisane et qu’il s’agit d’une violation claire du droit de la liberté d’expression et du droit des citoyens à accéder à l’information.
La fédération a, sur un autre volet, exprimé son indignation, appelant ainsi les autorités concernées par cette affaire à éviter ce genre de dépassement à l’égard des médias.