D’après Samir Dilou, ministre des Droits de l’Homme et de la Justice Transitionnelle a affirmé que la Présidence n’a pas respecté le processus de la justice transitionnelle en publiant le livre noir concernant les journalistes , précisant que cette publication implique une utilisation de l’archive de la Présidence dont une grande partie a été détruite après la Révolution du 14 Janvier.
Intervenant sur Mosaïque fm, il a jugé nécessaire la préservation du reste de l’archive jusqu’à la formation d’une commission qui se chargera d’établir une liste des journalistes ayant vraiment collaboré avec le régime déchu.
Utile de rappeler que la parution de ce livre a suscité la polémique.