Les compagnies pétrolières étrangères ont rencontré des difficultés pour travailler en Tunisie, en raison des protestations locales contre le manque d’opportunités.
« Après les fermetures de 2018, un nombre considérable d’emplois ont été perdus. On ne pouvait pas se permettre de recommencer et il y a moins de soutien » pour l’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT). L’impact des grèves sur l’industrie dans la région a été néfaste », a déploré le PDG de la société Serinus, Jeffrey Auld, ajoutant toutefois que les protestations locales ont moins touché les activités de Serinus que d’autres, attribuant cela à l’emploi de locaux par l’entreprise.
« Nous disposons de six jours d’installations de stockage sur le champ pétrolier Sabria. Nous devons résoudre les problèmes rapidement ou arrêter la production. Il y a encore des protestations, mais pas dans la même mesure, nous n’avons pas arrêté la production. Les forages sur la Sabria ne peuvent pas être attribués sur la base d’un rendement ajusté au risque tant que nous n’avons pas un niveau de commodité plus élevé sur ce qui se passe ».