Mongi Marzouk, candidat au poste de ministre de l’Energie, des Mines et de la Transition énergétique dans le gouvernement d’Elyes Fakhfakh, est né le 2 août 1961 à Matmata.
Il est titulaire d’un doctorat en physique expérimentale, d’un certificat d’habilitation à diriger des recherches et dispose d’une expertise dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC).
Marzouk a assuré, pendant cinq ans, la responsabilité de gestion des recherches et il est auteur de plusieurs travaux de recherches dans les domaines scientifiques et des revues techniques.
Il a été nommé, en décembre 2011, ministre des TIC dans le gouvernement de Hamadi Jebali et reconduit au même poste jusqu’à mars 2013 dans le gouvernement de Ali Larayedh.
Du 6 janvier 2016 au 27 août 2016, Marzouk a été nommé ministre des Energies et des Mines dans le deuxième gouvernement de Habib Essid.
A noter, Mongi Marzouk, était candidat au poste de ministre de l’Industrie, de l’Energie et des Mines dans le gouvernement de Habib Jemli

Mohamed Ali Toumi, Candidat au poste de ministre du tourisme et de l’Artisanat, a dirigé plusieurs agences de voyages et a crée son propre agence, en 2005.
Actif depuis plus de vingt ans dans le secteur du tourisme, il a été élu Président de la Fédération Tunisienne des Agences de Voyages (FTAV) de 2011 à 2018. Né le 19 février 1974 à Kerkennah (Sfax), Toumi est Maitrisard en gestion comptables de l’Institut Supérieur de Compatibilité et d’administration des Entreprises (ISCAE).
Il a cofondé le parti ALBADIL Ettounsi en 2018 et a été nommé son porte parole depuis sa constitution. Toumi est marié et père de deux enfants.

Chokri Ben Hassen, candidat au poste de ministre de l’Environnement dans le gouvernement d’Elyes Fakhfakh est né le 8 décembre 1972 à Sousse. Il est titulaire d’une maîtrise en droit. Il est inspecteur principal auprès des services financiers.
Il a été nommé secrétaire général du gouvernorat de Mahdia de 2009 à 2012. En 2015, il a été nommé Gouverneur de Kairouan.
Il a occupé, à partir du 27 août 2016, le poste de Secrétaire d’Etat d’Etat chargé des affaires locales et de l’environnement.
Depuis le 5 novembre 2018, il est ministre chargé de l’économie sociale et solidaire dans le gouvernement de Youssef Chahed.

Anouar Maârouf, Candidat au poste de ministre d’Etat chargé du transport et des logistiques, né le 29 décembre 1969 à Monastir, est titulaire d’un doctorat en Mathématiques, d’un master en Télécommunications et d’un master professionnel spécialisé dans le changement des organisations.
Il se spécialise dans le secteur des technologies de l’information et de la communication, multipliant les expériences en tant que consultant et directeur de projet.
De 2012 à 2013, il est conseillé auprès du Ministre des Technologies de l’Information. Depuis, il est Président du Conseil d’Administration de Dar Assabah et Directeur du Pôle Télécoms et Medias d’Al Karama Holding.
Depuis le 27 aout 2016, il a occupé le poste de ministre des Technologies et de l’économie numérique dans le gouvernement de Youssef Chahed.

Slim Choura, proposé au poste de ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique au gouvernement de Ilyes Fakhfakh, est né le 27 juillet 1961 à Sfax. Il est titulaire d’un doctorat en génie mécanique de l’Université A&M du Texas aux Etats Unis en décembre 1989.
Choura a occupé le poste de directeur général des études technologiques au sein du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique depuis mars 2019, après avoir été directeur général de la coopération internationale de janvier 2013 jusqu’à février 2019. Il avait précédemment était à la tête de l’Observatoire national des sciences et technologies de septembre 2012 jusqu’au mois de décembre de la même année.
Professeur d’enseignement supérieur à l’Ecole nationale d’ingénieurs de Sfax, Choura a également enseigné à l’Institut préparatoire aux études d’ingénieurs de Sfax en tant que professeur associé de 2004 à 2009 et en tant que professeur adjoint de 2000 à 2004.
Il a également enseigné de novembre 1994 à juin 1996, comme professeur associé au département de génie mécanique de l’Université « King Saud » à la capitale saoudienne, Riyad.
Le proposé au ministère de l’Enseignement supérieur a supervisé l’élaboration de la stratégie nationale 2019-2023 du réseau des instituts supérieurs d’études technologiques, ainsi que la mise en place d’un partenariat entre le réseau des instituts supérieurs d’études technologiques et le réseau canadien des facultés et instituts.
Slim Choura est membre de « American Society of Mechanical Engineers » (asme) depuis 1985 et membre de la Société scientifique tunisienne en Amérique du Nord (1982-1989).

Abdellatif Mekki, proposé au poste de ministre de la Santé dans le gouvernement de Ilyes Fakhfakh, est diplômé en biochimie. Il devient par la suite médecin.
Militant politique, il est secrétaire général de l’Union générale tunisienne des étudiants.
Il s’inscrit en troisième cycle de biochimie dynamique mais se voit exclu sans motif le 13 décembre 2002, le conduisant à entamer une grève de la faim illimitée le 7 février 2004. La même année, il obtient finalement un diplôme d’études approfondies puis un doctorat en 2009.
Après la révolution de 2011, il mène la liste du mouvement Ennahdha dans la circonscription du Kef lors des élections qui ont eu lieu la même année. Il a était élu à l’assemblée. En décembre 2011, il devient ministre de la Santé dans le gouvernement Hamadi Jebali. En avril 2012, pour ne pas cumuler ces deux fonctions, il quitte son siège à l’assemblée. Il est reconduit dans le gouvernement Ali Larayedh, avant d’être élu à l’Assemblée des représentants du peuple lors des élections législatives du 26 octobre 2014.
Abdellatif Mekki est marié et père de quatre enfants.

Mohamed Abbou est proposé à la tête du ministère chargé de la Fonction publique, de la Bonne gouvernance et de la lutte contre la Corruption.
Né en mai 1966 à Tunis, Abbou est titulaire d’un doctorat en droit privé à la Faculté de droit et des sciences politiques de Tunis.
Il est avocat auprès de la Cour de cassation et secrétaire Général et membre fondateur du Courant démocrate.
Il compte parmi les fervents opposants au régime Ben Ali. Il a été arrête et écopé de près de deux ans de prison en raison d’un article critiquant la politique de l’ancien président de la République Zine El Abidine Ben Ali.
Mohamed Abbou est ancien membre du comité directeur de l’Association des jeunes avocats et membre fondateur de l’Association internationale de soutien aux prisonniers politiques.
Il est un membre fondateur du parti du Congrès Pour la République (CPR) en 2001. Il a ensuite été élu membre du bureau politique du parti puis son secrétaire général du 13 mai 2012 au 13 mars 2013, date de sa démission du parti.Après la révolution, il a été élu à l’Assemblée nationale constituante pour la circonscription de Nabeul 1 avant d’être nommé ministre auprès du Chef de gouvernement chargé de la réforme administrative du 24 décembre 2011 au 30 juin 2012, date de sa démission.Il est marié à la députée Samia Abbou et père de trois enfants.

Mohamed Selim Azzabi, candidat pour le portefeuille du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale, dans le gouvernement de Elyes Fakhfakh, s’est engagé dans la vie politique depuis 2011, lorsqu’il a été l’un des fondateurs du parti Al Joumhouri.
En octobre 2011, date des élections législatives, il a intégré la direction centrale des campagnes électorales du pôle démocratique moderniste.
En 2012, il a été membre du bureau exécutif du parti républicain et a assumé la charge des affaires financières, avant de rejoindre en août 2013, Nidaa Tounes. Feu Béji Caïd Essebsi, l’a ensuite appelé pour occuper la fonction de directeur éxécutif de sa campagne présidentielle.
En octobre 2018, il a démissionné de la présidence de la République et s’est lancé dans la fondation du mouvement  » Tahia Tounes « , et a été été élu secrétaire général dudit parti lors du son congrès constitutif en avril 2019.
Né en 1978, à Tunis et titulaire d’une maitrise de l’Université de Toulouse (France) en finances et économie internationale et de l’école supérieure de commerce de Paris (ESCP), où il a suivi le programme des cadres dirigeants en stratégie et finance, Azzabi a assumé plusieurs responsabilités d’Etat, occupant le poste de conseiller principal auprès de l’ex-président de la République feu Béji Caid Essebsi puis ministre directeur du cabinet présidentiel.
Il a débuté sa carrière dans le secteur bancaire puis dans le domaine du financement et de l’investissement dans le Maghreb Arabe et l’Afrique.
Il a exercé d’autres missions dans les domaines de la protection sociale, l’assurance, le financement et l’investissement pour le compte de plusieurs institutions internationales (principalement la Banque Mondiale et la Banque Africaine de Développement…).
Mohamed Selim Azzabi, est marié et père de deux enfants.

Chiraz Latiri, candidate au portefeuille de ministre des Affaires Culturelles dans le nouveau gouvernement proposé par Elyes Fakhfakh, est née le 24 mars 1972 à Hammam Sousse (gouvernorat de Sousse).
Elle est titulaire un doctorat en Informatique (Spécialité Systèmes d’Information et fouille de données) de l’Ecole Nationale des Sciences de l’Informatique en 2004 et deux Habilitations à Diriger les Recherches (HDR) de l’Université de Lorraine (Nancy) et de l’Université de la Manouba en 2013.
Latiri est Maitre de Conférences-chercheure en Informatique à l’Université de la Manouba.
De 2006 à 2011, elle a occupé le poste de directrice de l’Institut Supérieur des Arts Multimédias de la Manouba (ISAMM).
Dans le cadre de ses fonctions, Latiri a œuvré pour la mise à niveau de la formation académique en Cinéma et Audiovisuel en Tunisie et ce développant la coopération entre les universités et les institutions des deux rives de la méditerranée dans les domaines de l’audiovisuel, du cinéma, du transmédia, de la réalité virtuelle et des jeux vidéo.
De juillet 2017 à novembre 2019, elle a occupé le poste de directrice générale du Centre National du Cinéma et de l’Image (CNCI).
A ce titre, elle a fondé plusieurs programmes internationaux pour le développement de projets cinématographiques africains et arabes tels que  » SENTOO  » et  » The Arab Film Platform  » et assuré la mise en œuvre de fonds de co-développement et de co-production cinématographiques avec la rive nord de la méditerranée.
Elle a participé également à la création de la Cinémathèque Tunisienne et à l’initiation de nouvelles manifestations culturelles telles que le festival du cinéma méditerranéen  » MANARAT « , les Journées des Industries Digitales Créatives  » JIDC  » et  » Les fenêtres sur le Cinéma Tunisien à l’UNESCO « .
Elle a également mis en place le projet de la billetterie unique en Tunisie dans le secteur du Cinéma.
Elle a aussi créé le département des Industries Digitales et Créatives au sein du CNCI et met également en place un incubateur culturel : le  » Creative DigitalLab « , un »Gaming Lab  » à la Cité de la Culture ainsi que le programme national  » Tunisia Games Factory « .
Elle est membre du Laboratoire de recherche LIPAH à la Faculté des Sciences de Tunis et chercheur associée au sein du laboratoire LORIA à Nancy.
Elle a participé à plusieurs projets de recherche nationaux et internationaux et a publié de nombreux articles scientifiques dans des revues scientifiques référencées et à l’occasion de conférences internationales.
En tant que membre du bureau directeur de l’association culturelle du Multimédia et l’Audiovisuel (AMAVI) depuis 2008 et de la Fondation Africaine de la gouvernance numérique pour le développement inclusif (AeGID-Foundation) depuis 2015, Latiri est très active dans le tissu associatif Tunisien.
Chiraz Latiri est mariée et mère de deux enfants.

Ahmed Gaâloul, proposé au poste de ministre de la Jeunesse et des Sports dans le nouveau gouvernement de Elyes Fakhfakh, est né en juillet 1966 à Nabeul
Il est diplômé en philosophie de l’Université Mohamed V à Rabat (Maroc) et titulaire d’un master en études islamiques de l’Université Soas à Londres (Angleterre).
Il a été le conseiller chargé du dossier de la jeunesse et des sports auprès du chef du gouvernement chargé de la jeunesse et des sports de 2012 à 2014.
Gaaloul a été entraineur de taekwondo et a occupé le poste de président de la Fédération Tunisienne de Taekwondo et a été membre du comité d’éthique de la Fédération Mondiale de Taekwondo.
Le membre du bureau exécutif de la Nahdha, occupe depuis le 5 novembre 2018, le poste de secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Jeunesse et des Sports.
Il est marié et père de 3 enfants.

Noureddine Erray proposé au poste de ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement d’Elyes Fakhfakh est né le 3 mars 1970 à Tunis.
Il est titulaire d’un diplôme de troisième cycle de l’Ecole nationale d’administration (ENA) en France en 2001 et d’une licence en sciences juridiques.
En 1996, Noureddine Erray rejoint le ministère des Affaires étrangères. Il occupa plusieurs postes dont celui d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Tunisie auprès de l’Etat du Koweït, conseiller du ministère des Affaires étrangères à l’ambassade de Tunisie à Rabat (Maroc) ainsi qu’à la Direction générale des relations avec l’Europe.
Il a aussi été ambassadeur de la Tunisie à Mascate (Sultanat d’Oman). Poste qu’il occupa depuis novembre 2018 jusqu’à sa proposition à la tête du ministère des Affaires étrangères.
Il est marié et père de eux enfants.

Akissa Bahri qui vient d’être proposée au poste de secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Agriculture, chargée des ressources hydrauliques dans le nouveau gouvernement d’Elyes Fakhfakh, est née en 1956. Elle est titulaire d’une maitrise en gestion et comptabilité de l’Ecole des Sciences économiques et d e gestion de Sfax. Elle est enseignante à Institut National de l’Agriculture de Tunis (INAT).
Mme Bahri a occupé le poste de coordinatrice de la Facilité africaine de l’eau à la Banque africaine de développement (BAD) et celui de directrice régionale pour l’Afrique au sein de l’Institut international de la Gestion de l’Eau (Ghana, 2005-2010).
Ingénieure diplômée de l’Ecole nationale supérieure agronomique de Toulouse et de l’Institut national polytechnique de Toulouse (1974 – 1977), elle est aussi docteure ingénieure de Institut national polytechnique de Toulouse (1978 -1982), spécialité sciences et techniques en production végétale et qualité des produits.
Elle a préparé également une deuxième thèse de doctorat en Suède à l’Institut des sciences et de la technologie (Université de Lund).
Elle est conseillère auprès de plusieurs organisations internationales dans le domaine de l’eau. Elle a reçu plusieurs distinctions au cours de sa carrière.

Salah Ben Youssef, proposé au poste de ministre de l’Industrie dans le nouveau gouvernement d’Elyes Fakhfakh, est candidat indépendant. Il a occupé plusieurs postes en tant que conseiller et expert dans la gestion et la structuration des entreprises en Tunisie, en France et en Mauritanie.
Ben Saleh a exercé, également, dans le domaine de développement de stratégies, en rapport avec la gestion et l’audit financier. Il a été nommé aussi à la tête de plusieurs sociétés industrielles.
Né en 1962, Salah Ben Youssef a obtenu sa maîtrise en Informatique appliquée à la gestion, de l’Université Paul Sabatier de Toulouse (France).

Mohamed Nizar Yaiche, proposé au poste de ministre des Finances, est un ingénieur, diplômé de l’Ecole Centrale de Paris. Né en 1975, il a occupé les postes de directeur exécutif au sein de l’opérateur national Tunisie Telecom et de directeur général d’un cabinet international de conseil en Stratégie et en Nouvelles Technologies.
Il a exercé en tant que conseiller dans plusieurs bureaux d’études à Dubai et Paris, en tant que conseiller en gestion des projets et en tant qu’ « associé stratégie » au cabinet de conseil et d’audit PwC.

Hichem Mechichi, candidat au poste de ministre de l’Intérieur dans le gouvernement Fakhfakh est né en janvier 1974.
Il est titulaire d’une maîtrise en droit de la Faculté de droit et des sciences politiques de Tunis, d’un Certificat de fin de cycle de l’Ecole nationale d’administration (ENA) de Tunis et d’un Master en administration publique de l’Ecole nationale d’administration de Strasbourg.
Mechichi a occupé le poste de conseiller principal auprès du président de la République, en charge des affaires juridiques.
Il a également occupé le poste de chef de cabinet dans les ministères du Transport, de la Santé et des Affaires sociales.
Mechichi a été directeur général de l’Agence nationale du contrôle sanitaire et environnemental des produits.

Ali Hafsi, proposé au poste de ministre auprès du chef du gouvernement, chargé de la Relation avec le parlement dans le gouvernement Elyes Fakhfakh, Ali Hafsi Jeddi est né en 1966.
Il est titulaire d’un diplôme en tourisme.
Hafsi a occupé plusieurs postes dans le domaine sportif dont notamment le poste de président de la Fédération tunisienne de football (FTF) en 2010.
Sur le plan politique, Hafsi est actuellement secrétaire général de Nidaa Tounes (depuis 2019).
Il a été élu député durant deux mandats parlementaires sous Ben Ali en 2004 et en 2009. En 2019, il été élu sur les listes de Nidaa Tounes.

Mohamed Msilini, qui vient d’être proposé au poste de ministre du Commerce au sein du gouvernement d’Elyes Fakhfakh, est né en 1956.
Tituaire d’une maitrise en sciences économiques et de gestion de l’Université de Sfax, Msilini a travaillé au sein de la Société Tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG), où il a assumé plusieurs responsabilités. Il est membre fondateur et membre du bureau politique du Mouvement Al Chaâb (Mouvement du Peuple).

Imed Hazgui, candidat au portefeuille de la Défense nationale dans le gouvernement d’Elyes Fakhfakh est né en 1968 à Tunis.
Il est titulaire d’une maîtrise en sciences juridiques de la faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis. Il est également titulaire d’un diplôme d’études approfondies en droit international de la faculté de droit et d’un diplôme d’études approfondies en droit public de l’université de la Sorbonne.
Hazgui a occupé le poste de conseiller aux affaires étrangères avant d’intégrer le Tribunal administratif en tant que conseiller adjoint.
Il a été aussi chargé des fonctions de président de chambre de première instance.
Hazgui a également occupé le poste de délégué d’Etat jusqu’à son élection le 18 juillet 2017 à la tête de l’Instance Nationale d’Accès à l’Information (INAI).

Ayachi Hammami, proposé au poste de ministre chargé des droits de l’Homme et de la relation avec les instances constitutionnelles et la société civile au gouvernement Elyes Fakhfakh, Ayachi Hammami est né en 1959.
Il est avocat à la cour de cassation et titulaire d’un certificat d’études approfondies en droit international.
Hammami est membre du comité directeur de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH) et membre du bureau exécutif du Réseau euro-méditerranéen des droits de l’homme (REMDH).
Il était membre fondateur du Collectif 18 octobre pour les droits et les libertés et membre de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique en 2011.

Mohamed Fadhel Kraiem, qui vient d’être proposé au poste de ministre des Technologies de la communication et de la Transition Numérique au sein du gouvernement d’Elyen Fakhfakh est diplômé de l’Ecole polytechnique et de l’Ecole nationale des communications à Paris.
Il a occupé plusieurs postes au sein de plusieurs opérateurs de télécoms et Internet en France et au Maroc.
Il a occupé également le poste de directeur général de Monoprix et de directeur général adjoint au sein de Tunisie Télecom. Il a été nommé, en 2017, président directeur général Tunisie Telecom.

Oussama Kheriji, proposé au poste de ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche dans le gouvernement d’Elyes Fakhfakh, est un ingénieur agronome diplômé de l’Institut national agronomique de Tunisie (INAT), spécialisé en l’amélioration génétique des plantes.
Il a occupé le poste de directeur général de l’Institut national des grandes cultures (INGC) et de sous-directeur de Céréales à la Direction générale de la production agricole, au ministère de l’Agriculture.
Kheriji est membre du comité de pilotage du projet Durabilité de la production des systèmes agricoles. Il est le président de l’Ordre des ingénieurs tunisiens (OIT) depuis 2017.

Née en 1960, Thoraya Jribi Khémiri, proposée au poste de ministre de la Justice au gouvernement Elyes Fakhfakh occupe depuis 2015, le poste de présidente du Tribunal de première instance de Tunis.
Elle est Titulaire d’une maîtrise en droit et d’un certificat d’aptitude professionnelle en droit.
Elle a enseigné à l’Institut supérieur de la magistrature et à l’Académie militaire.
Thoraya Jribi Khémiri avait occupé le poste de présidente de chambre à la Cour d’appel de Tunis et le poste de directrice de formation continue à l’Institut supérieur de la magistrature à Tunis.

Mohamed Habib Kchaou ( natif de 1956), candidat au poste de ministre des affaires sociales au gouvernement de Elyes Fakhfakh , a occupé le poste de conseiller auprès du chef du gouvernement chargé des affaires sociales dans les gouvernements successifs de Hamadi Jebali, Ali Laarayedh et Mehdi Jomaa.
Kchaou est titulaire d’une maitrise en gestion du travail de l’institut national du travail et a occupé le poste d’enseignant à l’institut supérieur du travail et des études sociales.
Il a également présidé le comité des martyrs et des blessés victimes d’actes terroristes.

Asma Shiri Laabidi, née en 1972, proposée au poste de ministre de la Femme, de la Famille, de l’Enfance et des Séniors au gouvernement d’Ilyes Fakhfakh annoncé, hier mercredi, a occupé les fonctions de conseillère juridique et législative auprès du gouvernement, et de directrice à l’Ecole Nationale d’Administration (ENA).
Shiri qui a été proposée dans un gouvernement qui comprend 30 ministres et deux secrétaires d’Etat, est spécialisée en droit public et titulaire d’un diplôme de cycle supérieur de l’ENA. Elle est également membre du Conseil des pairs pour l’égalité des chances hommes-femmes, et membre du Comité juridique pour l’élaboration de la stratégie nationale de l’institutionnalisation du genre.

Lotfi Zitoun, pressenti nouveau ministre des Affaires locales dans le gouvernement d’Elyes Fakhfakh est né le 13 août 1964 à Tunis.
Il est diplômé de l’université de Londres en gouvernance politique et histoire. Il est également titulaire d’un master en relations internationales de l’université de Canterbury.
En 2012, Lotfi Zitoun occupait le poste de conseiller politique auprès de Hamadi Jébali, alors, chef du gouvernement.
Il est membre fondateur du Centre de Tunis pour les études prospectives et dirige actuellement l’Institut de Leadership et de gouvernance de Tunis.
Lotfi Zitoun est membre du conseil de la Choura.

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