Le mouvement Ennahdha n’est pas tenu de délivrer un chèque en blanc à l’UGTT et il est de son droit , en tant que parti au pouvoir, de discuter les propositions qui lui sont faites, a déclaré Rafik Abdesszalem, dirigeant au parti islamiste , sur Radio Mosaïque fm, ajoutant que si les syndicalistes choisissent l’escalade, ils ont porteront la responsabilité, car Ennahdha refuse les menaces, selon ses dires.
Ila estimé que la proposition de l’UGTT n’est pas le Coran révélé, soulignant que son parti a exprimé clairement son acceptation de l’Initiative du Quartet en tant que plateforme du dialogue, relevant cependant des divergences sur la feuille de route, et assurant qu’il est possible d’arriver à des accords à ce sujet.