L’ancien ministre des Droits de l’Homme et de la justice transitionnelle, Samir Dilou a déclaré, dans une interview accordée, ce mercredi, au journal Al Joumhouria, qu’il a regretté d’avoir accordé des promotions à plusieurs personnes qui ne les méritent pas, selon ses dires, expliquant que cela a été fait sous couvert des blessés de la Révolution.
Il a fait assumer, toutefois, la responsabilité de cette erreur à ceux qui ont voulu instrumentaliser ce dossier pour faire pression sur le gouvernement : « Malheureusement, en Tunisie on n’a pas la culture de l’autocritique », a-t-il dit.