Le mouvement Wafa présidé par Abderraouf Ayadi, a rendu public un communiqué dans lequel il a rejeté l’initiative d’Ennahdha proposant un candidat consensuel aux élections présidentielles.
A l’égal d’autres partis politiques, Wafa y voit une tentative de remettre le peuple sous tutelle et de porter atteinte à son droit de choisir son président.
Dans ce refus, Wafa suit l’exemple d’Attakatol et du CPR, ex-partenaires d’Ennahdha dans la Troïka, mais aussi celui d’Aljoumhouri, d’Al Maçar et du Front populaire qui avaient considéré que l’initiative du parti islamiste vise à confisquer le droit à la candidature et à l’élection.