Lors d’une rencontre récente organisée à Tunis à l’initiative de la présidence du gouvernement en collaboration avec la PNUD, le président de l’instance nationale de la lutte contre la corruption Samir Annabi a déclaré que 50% des responsables tunisiens sont en situation de conflit d’intérêts.
Le séminaire a été organisé sous le thème suivant : « Vers la mise en place d’un système efficace de déclaration du patrimoine et d’incrimination de l’enrichissement illicite ».
Il a été question de débattre la question de lutte contre la corruption et la malversation, le fléau qui n’a cessé de se propager en Tunisie depuis la Révolution à ce jour.
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La notion de conflit d’intérêt n’a jamais existé ni avant ni après la révolution!