Le nombre d’associations crée par le corps sécuritaire s’est élevé à 13, rapporte le journal « Le Maghreb ».
La même source a indiqué que certains agents sécuritaires ont voulu nommer certaines associations « la Ligue tunisienne pour la défense des droits des policiers », mais cette appellation a été rejetée.
Le Maghreb a par ailleurs constaté que les observateurs se sont interrogés sur la nature des associations, ses objectifs ainsi que ses sources du financement.