Après un message de l’opposant Jean Ping, qui appelle au soulèvement populaire afin d‘évincer son rival Ali Bongo du pouvoir, les autorités gabonaises ont pris des mesures conservatoires pour parer à toute éventualité d’insurrection, relate Africanews.
Depuis sa défaite à l‘élection présidentielle du 27 août 2016 l’opposant Jean Ping mène plusieurs actions afin que le président Ali Bongo cède le pouvoir. Mais celui-ci tient droit dans ses bottes malgré les violences survenues dans le pays auxquelles la Cour Pénale Internationale (CPI) s’est intéressée sous invitation des deux parties, gouvernement et opposition.