Chapeau : En association avec un trio italien, un Tuniso-américain de 29 ans, Aymen Ghali, a ouvert, la semaine dernière, un restaurant servant du « Mestizo » dans le quartier huppé de Boeung Trabek, à Pnom Penh, capitale du Cambodge.
En association avec un trio italien, un Tuniso-américain de 29 ans, Aymen Ghali, a ouvert, la semaine dernière, un restaurant du type « Mestizo » dans le quartier huppé de Boeung Trabek, à Pnom Penh, capitale du Cambodge.
Le concept du mestizo, un mot espagnol parfois péjoratif pour décrire un homme de race mixte, définit le menu qui intègre les traditions alimentaires du Moyen-Orient en Amérique latine.
» Tout y est mixé. Les cultures y sont reliées les unes aux autres par le biais de l’alimentation. Vous y voyez un mélange de la Méditerranée, du Moyen-Orient et de l’Amérique latine « , a-t-il dit.
« Nous prévoyons l’organisations de beaucoup d’événements», a ajouté Aymen Ghali , dont les contributions au menu la semaine dernière étaient faites de houmous fait maison (4 dollars ), de filet de thon à la tunisienne (6 $) et de salade méchouia servie avec un œuf et du pain plat grillé ( 4 dollars) .
« En Tunisie nous appelons méchouia une salade, mais il s’agit d’un composé d’ail rôti, d’aubergine, de tomate et d’huile d’olive», explique-t-il. «On en voit pas souvent au Cambodge, » a-t-il noté.