La reprise des négociations avec le FMI est extrêmement importante, la Tunisie n’ayant plus d’autre issue que la conclusion d’un accord avec le Fonds monétaire international, a estimé, vendredi, l’économiste Moez Labidi.
Sur Shems fm, il a ajouté que 2022 est une année d’aventure, dès lors que le financement de l’économie tunisienne est essentiellement tributaire d’un accord avec le FMI et aussi sur le plan politique.
Ila souligné que la situation est délicate en ce sens que le FMI n’acceptera pas facilement de passer un accord avec la Tunisie, et fera montre d’un surcroît de fermeté, mettant l’accent sur la nécessité de mettre le pays sur la trajectoire des réformes dès ce mois de février pour convaincre le FMI du sérieux de ces réformes et des orientations prises par le pays.