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Tunisie-Loi sur la réconciliation : BCE hésite à signer. Fera-t-il marche arrière ?

La présidence de la République respectera toutes les mesures énoncées dans la loi, a déclaré mercredi sa porte-parole Saida Garrach qui est revenue sur la décision de renvoyer le projet de loi de réconciliation administrative au président de la République.
« Le chef de l’Etat examinera ce projet de loi et une décision sera annoncée par la présidence de la République », a expliqué Saida Garrach.
« N’ayant pas pu obtenir la majorité des voix requise pour statuer sur le projet de loi organique n°49 de 2015 relatif à la réconciliation administrative, l’Instance provisoire de contrôle de la constitutionnalité des projets de lois a décidé, mardi, de le renvoyer au président de la République.
Ce dernier peut ensuite le parapher et le publier dans le Journal Officiel de la République tunisienne (JORT) ou le soumettre à nouveau au parlement, avait expliqué à l’agence TAP, le secrétaire général de l’Instance, Hayder Ben Amor.

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1 COMMENTAIRE

  1. MEZRI Abdou, réagit à l’article : Tunisie-Loi sur la réconciliation : BCE hésite à signer. Fera-t-il marche arrière ? paru le 18 Octobre 2017, sur le journal virtuel « Manager ».

    Pour reconstruire la Tunisie, à l’agonie depuis des décennies, par les chamailleries politiciennes, le chômage massif et la précarité économique et sociale, la réconciliation populaire « serait possible » afin de tourner définitivement la page de la ténébreuse période de l’ancien régime, et repartir sur de nouvelles bases politiques et sociales pour sauver le pays de l’interminable bourbier de conflits d’intérêts et de conquêtes de pouvoir… Mais, cette « réconciliation nationale » ne serait moralement tolérable, que sous deux conditions préalables, à savoir : 1/ les fraudeurs qui avaient abusé des biens publics et privés, les restituent à leurs victimes légitimes (Voir site Web : http://www.thermosolaire.com) ; 2/ la justice nationale doit être non seulement indépendante, impartiale et apolitique, mais être entièrement rigoureusement révisée, innover et rénovée… Sans ces conditions de réconciliation sociale et de réformes judiciaires, le pays demeurera durablement moralement tendu et matériellement affecté sans espoir de s’en sortir, dont nul personne prédira à termes les conséquences et l’issue.
    Pour réussir le projet de réconciliation, avons nous, en Tunisie, des ingénieurs politiques talentueux. Je m’en doute bien fort, car certains milieux politiques que j’avais rencontrés m’ont laissé stupéfait quant à l’accueil et aux attitudes éthique et déontologique négatives constatés ce dont le pays n’a nullement besoin.

    Dr. MEZRI Abdou
    Expert scientifique et politique européen.
    Ex chercheur scientifique en transition énergétique.
    Ingénieur génie industriel.
    Artiste peintre sculpteur.

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