Le chef du gouvernement, Ali Larayedh, a affirmé qu’il sera désormais fait face « sans hésitation ni répit à quiconque s’en prendrait par le terrorisme, l’anarchie ou la désobéissance aux institutions de l’Etat, les déstabilisera et tentera d’en prendre le contrôle aux plans central ou régional », assurant que le gouvernement avancera dans son travail « dans le cadre de ce que prescrit la loi ».
Il a estimé, dans une déclaration de presse à l’issue d’une réunion à caractère sécuritaire tenue mardi matin au Palais de Carthage sous la présidence du président de la République Mohamed Moncef Marzouki que « la situation sécuritaire en Tunisie s’est considérablement améliorée » et que les risques et défis sécuritaires auxquels le pays est confronté « ne sont pas très grands ».