En l’absence de la pièce de rechange devant garantir la bonne gestion du parc automobile, de nombreux propriétaires de véhicules recourent à d’autres marchés étrangers de la pièce de rechange offrant la disponibilité, un choix diversifié et des prix accessibles, selon el watan.
Réparer sa voiture relève du parcours du combattant aujourd’hui où le pays a atteint le cap du critique en matière de disponibilité des pièces de rechange automobiles. Les nouvelles restrictions gouvernementales sur l’importation de ces «pièces maîtresses», devant assurer le maintien du parc roulant, ont débouché à une déstructuration sans précédant de la filière de pièces de rechange.
Aujourd’hui, il est devenu presque impossible, même sur le marché de l’occasion et les casses automobiles du pays, de tomber sur des pièces mécaniques qui offriraient la fiabilité et garantiraient une durée de vie aux véhicules.
Dans les meilleurs des cas, si la chance sourit aux automobilistes en quête d’une pièce, ils devront se mettre à l’évidence qu’elle est soit trop chère ou bien de piètre qualité.