Dans des déclarations jeudi 18 mai à Radio Shems FM, l’économiste Abdelkader Boudrigua a signalé que la complexité de la situation économique en Tunisie est meilleure que celles prévalant en Égypte, Algérie, Maroc et Jordanie, vérité dont on ne parle pas.
Il a noté que le problème est que la création des richesses ne suit pas cette complexité.
Boudrigua a préconisé la mise en place d’un programme national à même d’assurer l’épanouissement des compétences, la promotion de la production des données au service de l’incitation des investissements et de la création des projets, parallèlement à la facilitation de la concurrence de manière à ce que tout porteur d’idées puisse avoir l’opportunité de la mettre en exécution et que les marchés soient librement ouverts à tous.
Les opportunités sont claires et les moyens d’y accéder sont pricurables .Economie de rente ou autres , l’essentiel est de ne pas tomber dans le piège des guerres destructives .
Et peut-être (?) gérer la corruption généralisée, et réformer les administrations impuissantes?