Une trentaine de jihadistes ont été tués par l’armée française jeudi dans la région de Mopti, au cendre du Mali, deux jours après la « neutralisation » d’un haut responsable lié à Al-Qaïda, a annoncé vendredi soir l’état-major des armées françaises.
Il s’agit de membres d’un GAT (groupe armé terroriste) appartenant au RVIM (Rassemblement pour la victoire de l’islam et des musulmans, aussi appelé GSIM, abattus lors d’une opération aérienne et héliportée de la force Barkhane.
La France avait déjà annoncé vendredi matin la « neutralisation » au Mali par sa force Barkhane de Bah Ag Moussa, décrit comme le « chef militaire » du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), lié à Al-Qaïda.