Imen Triki, présidente de l’Association Liberté et Équité, a annoncé lors d’une conférence de presse organisée jeudi à Tunis que la torture demeure une culture des forces de sécurité. Et d’ajouter que les témoignages recueillis par les détenus relèvent que les agents de la sécurité et le ministère de l’Intérieur sont derrière les opérations de torture et d’intimidation.
Imène Triki a appelé le ministère de l’Intérieur, le ministère de la Justice et la direction générale des prisons à sanctionner les agents et les directeurs de prisons qui se taisent sur les crimes de torture.