La Banque mondiale estime que le budget 2013 de la Tunisie » continue de privilégier les dépenses courantes, notamment, les salaires de la fonction publique et les subventions alimentaires et de carburants (non ciblées) plutôt que l’investissement public, bien que le déficit budgétaire prévu pour 2013, soit d’un niveau acceptable, relève-t-elle cependant.
Ce budget prévoit un déficit de 5,9% du PIB, où la masse salariale et les subventions et les transferts représentent respectivement 41% et 24% des dépenses totales ».