L’inscription de la sharia dans la nouvelle constitution est une menace pour les libertés de la femme et des droits de l’Homme, a indiqué le président de la République, Moncef Marzouki, lors d’un débat au conseil américain des relations exterieures, rapporte le journal « Le Maghreb ».
Et de préciser qu’il s’est opposé souvent à l’inscription du terme « Chariaa », dans la nouvelle Constitution, mais il a été difficile de convaincre « Ses amis du mouvement Ennahdha », de rejeter cet idée.