Le site électronique « mosaïque news » a rapporté, mercredi 14 septembre, que des documents officiels prouvent l’implication de 34 sécuritaires, et de hautes personnalités dans l’affaire relative à l’envoi des jeunes tunisiens aux zones de conflits (Libye, Syrie, Irak, entre 2012 et 2016), ajoutant que l’instruction pourrait concerner l’ex président Moncef Marzouki.
Rappelons que l’affaire a démarré suite à une plainte déposée par l’ex députée Fatma Mseddi auprès du parquet militaire qui s’est dessaisi du dossier au profit du pôle judiciaire antiterroriste vu l’existence de civils parmi lesquels certains des suspects présumés.