Dans une interview accordée au journal « Tunis Hebdo », le chargé de mission au ministère des droits de l’homme et de la justice transitionnelle, Abdelhamid Abdallah a constaté qu’il y a un retard dans l’examen de plaintes pour tortures.
C’est la raison pour laquelle, il a estimé qu’elles seront examinées le plutôt possible pour que le citoyen sente que ses droits ne sont pas bafoués et qu’aucun coupable ne peut échapper à la loi.