Le syndicat des agents et cadres de la sécurité présidentielle a dénoncé, dans un communiqué rendu public dimanche 3 juillet 2016, la réaction hâtive et excessive de l’agent de sécurité présidentielle, qui avait tué un jeune homme suite à un accrochage qu’il a eu avec lui et d’autres jeunes qui l’accompagnaient.
Le syndicat a précisé que cet acte représente une erreur fatale, expliquant que cet incident a eu lieu alors que l’agent en question n’était pas en service.
Il est à rappeler que le jeune homme qui est un chauffeur de taxi avait été tué, dimanche 3 juillet 2016, à la place du 14 janvier à la capitale par un agent de la sécurité présidentielle.