C’est le directeur régional de la santé qui l’a affirmé ce jeudi : il n’y a aucune preuve qui étaye une existence réelle au niveau des hôpitaux comme à celui de cliniques d’un nouveau variant du coronavirus en Tunisie, qu’il est plus dangereux et développe une plus grande propagation que le virus, et ce eu égard au fait que le nombre des contaminations sur le déclin de même que le nombre des cas graves et des décès.
Tarak Bennaceur a assuré sur Mosaïque fm qu’il ne s’agit que d’un simple soupçon et « nous sommes certains, aujourd’hui, à 98% que cette variante n’existe pas en Tunisie », a-t-il dit ajoutant que l’annonce en sera faite officiellement demain après la publication des résultats des enquêtes et recherches.