Dans un communiqué répercuté dimanche 6 août par Radio Express FM, le ministère de la culture a fustigé les désinformations à son égard, observée chez des sites et médias électroniques concernant les mesures disciplinaires réglementaires, prises à l’encontre de 9 fonctionnaires ayant commis des fautes dans l’accomplissement de leur travail et présentées comme étant du harcèlement et des sanctions voulues contre ces agents pour avoir publié des articles entrant dans le cadre de l’exercice de la liberté d’opinion et d’expression.
Le ministère a signalé que ces agents ont été déférés devant le Conseil de discipline sur la base de rapports d’inspection administrative qui ont établi qu’ils avaient commis des fautes administratives et des actes incriminés par la loi dont la diffamation et l’affirmation de l’existence de faits de corruption au sein du ministère sans passer par les voies judiciaires, outre la publication de blogs et d’articles à caractère diffamatoire portant atteinte à la réputation du ministère et de son personnel.