La photo a été prise par Mohamed Drij, un homme d’affaires dans l’imprimerie qui n’a pas oublié ses réflexes de journaliste dont il avait fait les études à une IPSI d’un autre temps. Elle illustre l’état de plus d’une grande artère de la capitale tunisienne et ses banlieues en cette période d’après l’Aïd où plus d’un million de moutons ont été consommés en une seule journée. Des tas d’ordures et de peaux de moutons qui dégagent une odeur pestilentielle et pourrissent en plein air.

Une illustration qui confirme d’abord que les services municipaux étaient, eux aussi, en congé et l’absence du service minimum en pareille période de grandes chaleur. Elle en dit long long aussi sur l’absence de ladite police municipale, créée à grand coups de publicité et qui semble dormir sur ses lauriers, alors que le laisser-aller du citoyen était largement prévisible en pareille période !

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