Nous venons d’apprendre de sources proches du dossier que la question de la privatisation ou de la fusion des banques publiques n’est pas à l’ordre du jour et qu’aucune décision n’a été prise par le gouvernement dans ce sens.
Ainsi, l’État continuera à injecter des fonds dans le capital de ces banques en vue de leur recapitalisation, des actions lancées depuis quelques années dans l’objectif de requinquer le secteur financier.
Selon le FMI, le fait de ne pas réformer les banques publiques est l’un des principaux obstacles à la croissance et à l’emploi en Tunisie.