Les autorités sanitaires sud-coréennes ont déclaré lundi pour la première fois se trouver au milieu d’une « deuxième vague » de contaminations par le nouveau coronavirus dans les environs de Séoul, alimentée par des foyers limités mais persistants trouvant leur origine lors d’une période fériée en mai.
Les Centres de contrôle et de prévention des maladies sud-coréens (KCDC) estimaient que la « première vague » épidémique de COVID-19 n’avait jamais véritablement pris fin.
Mais leur directeur a déclaré lundi lors d’un point de presse qu’il était devenu évident qu’un « pont » au début du mois de mai avait marqué le début d’une nouvelle vague d’infections centralisée dans la capitale et ses environs, une zone densément peuplée qui n’avait jusqu’ici connu qu’un faible nombre de cas.