Le choléra vient de tuer une dizaine de personnes au Nord-est du Nigéria. Des décès qui laissent planer le doute d’une propagation rapide de l’épidémie dans d’autres parties du pays en proie à des attaques terroristes de la secte Boko Haram.
L’OMS préconise de renforcer la surveillance pour la détection de nouveaux cas. Les risques sont élevés, rapporte le site latribune.fr.
Selon la même source, la plupart des cas suspects et des décès concernent les habitants de Muna Garage, un camp de déplacés en périphérie de Maiduguri, la capitale du Borno, principal centre des terroristes de Boko Haram.
La plupart des victimes se trouvant dans un camp de déplacés ayant fui les violences de Boko Haram.