Ce n’est pas une première dans cette Tunisie qui ne sait plus sur quel pied danser, entre la langue française de Voltaire et la langue d’Ibnou Khaldoun, jusqu’à en piétiner les deux .
Des écriteaux, pareils à cette photo qui circule sur les réseaux sociaux, on en voit un peu partout. Entre cheveux et chevaux, c’est une simple question de «e». C’est certainement une coquille, mais lorsque ce genre de coquilles devient anodin, sur les étals tunisiens, les écriteaux et les panneaux de certaines entreprises et institutions, il y a lieu de se poser des questions !
- Publicité-
