«La pression augmente sur le dinar tunisien et notre scénario central est que le FMI poussera les autorités à relâcher leur emprise sur la devise dans un proche avenir. Cela devrait entraîner une baisse de 10% de la devise par rapport à l’euro d’ici la fin de l’année. Mais il y a un risque croissant que les autorités ignorent le Fonds et gardent un contrôle serré sur le dinar, conduisant à un ajustement plus désordonné plus loin». Cette malheureuse hypothèse d’une possible dégradation de la valeur du Dinar tunisien est rapportée par le site londonien «Capital Economics», une société qui se définit comme l’une des principales sociétés indépendantes de recherche économique dans le monde.