Abid Briki, ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance, a déclaré ce mercredi 16 novembre 2016 qu’on ne peut pas lutter contre la corruption sans une législation adaptée à la situation.
En effet, lors de son audition par la commission de l’organisation de l’administration au sein de l’ARP, le ministre a mis l’accent sur l’importance de la mise en place d’un cadre législatif adéquat capable de mettre fin à ce phénomène qui a atteint un stade «épidémique en Tunisie».
La précision du ministre vient à un moment où ladite commission a entamé hier l’examen du projet de loi relatif à la dénonciation de la corruption et à la protection des dénonciateurs. Ce texte vient définir les mécanismes de dénonciation de la corruption dans le secteur public.
Nous y reviendrons…