Au cours d’un point de presse tenu ce jeudi 15 février 2018 au Palais de la Kasbah, le porte-parole du gouvernement a catégoriquement démenti les accusations qui ont été lancées par la Commission tunisienne des analyses financières (CTAF), selon lesquelles le gouvernement n’a pas pris en considération toutes ses alertes concernant le Blacklisting de la Tunisie .
Dahmani a affirmé que «les correspondances qui ont été adressées par la Commission en question ont été très rassurantes sur les intentions du Parlement européen quant au classement de la Tunisie dans la liste des pays susceptibles de donner libre cours au blanchiment d’argent et au financement du terrorisme». Il a déclaré que la CTAF a freiné le tra
Et d’ajouter que «la diplomatie tunisienne et le gouvernement ont tenu tous leurs engagements » ajoutant « que les correspondances que le gouvernement avait reçues indiquent qu’il n’était pas possible de classer la Tunisie dans la liste noire avant janvier 2019», et que « la CTAF a freiné les efforts du gouvernement dans ce sens »…